(Note : Vous ferez gaffe, ya un jeux de mot dans le titre du sujet.)
Bonsoir à vous !
Je m'appelle Lyras, et je sors de ma longe retraite sous les conseil de mon amis Benjythereturn.
Je vécu sur ces terres il y a fort longtemps, en une ère que seul les plus vieux citoyens se rappellent, une ère dont ils ne content les vieilles légendes effroyables du bout des lèvres qu'une fois leur esprit embrumé par quelque tord boyaux. A l'époque d'avant le terrible épisode de l'armageddon qui marqua les esprit de tous ceux qui y survécurent alors que le tapis de fange qui recouvre le monde était encore jeune je prenais conscience comme beaucoup de survivants que l'union faisait la force.
Fou que j'étais, nous bâtissions, ratissant l'outremonde de tout ce qui pouvait s'assembler, ce que nous nous figurions être d'invincible citadelle qui, toutes, ne tardaient pas à s'écrouler sous l'assaut de inexorables des créatures de la nuit, de nos camarades tombées dans l'outremonde. Chaque Ville, Bidonville devrais-je dire, durait un peu plus longtemps et j'avais l'esprit emplis de rêve. De rêve de cités qui tiendraient des semaines les hordes de zombies dans l'outremonde. C'est à cette époque que j'ai convaincu mon ami Benjythereturn de ce joindre à moi.
Mais, au fur et à mesure que les morts s'accumulaient, que les villes s'effondraient, un doute s'insinua en moi. Une idée qui devint une pensée puis une certitude. J'avais fait erreur. Le vrai danger de résidait pas dans les hordes de zombies affamées, ni dans la soif, ni dans l'ingestion de tout un tas de produit tout plus nocif. Non, le véritable danger venait de mes concitoyens. Le vrai danger venait des hommes, responsables de toutes les horreurs et de toutes les erreurs qui avaient conduit à la ruine de tous les projets de villes. L'homme est un zombie pour l'homme a dit un philosophe de l'ancien temps, et je compris à cette époque ce que cela voulait dire.
Les personnes digne de confiance n'était que trop peu nombreuse et, l'un après l'autre, nous abandonnèrent l'idée de vivre en communauté. Trop dangereux, il valait mieux rester seul, silencieux, et discret comme une ombre parmi les ruines. Il en est allé ainsi jusqu'à nos jours, à perdre petit à petit mon humanité. Mais récemment j'ai fais un rêve, j'ai rêve de villes immenses et magnifiquement organisées, qui résistaient jours après jours aux assauts des hordes morts-vivantes. Les mauvais éléments seraient minoritaires et mis rapidement hors d'état de nuire. Les citoyens s'aideraient, se comprendraient et s'uniraient.
Je me réveillais les yeux emplis de larmes aux souvenir de ce rêve glorieux avec, sur les lèvres, quelques mots dont je ne saisissait pas le sens, mais qui symbolisait, d'un un coin reculé de mon inconscience la gloire de ces cités oniriques : "Ia, Ia ! Cthulhu ftaghn ! Ph’nglui mglw’nafh Cthulhu R’lyeh wgah’nagl ftaghn"
Et quand je reçu, griffonné sur un bout de papier taché de sang, et d'autre substances organiques, ces mots de Benjythereturn "viens fair eun ptit tour dans notre méta, y'a de la vodka, du zomb et du PVE" je sus qu'il était temps de retenter l'expérience de vie en communauté, mais cette fois, à un niveau supérieur.
(J'ai joué il y a quelque temps à horde, j'ai même fait découvert le jeux à Benjy. J'ai arrêté, un peu lassé, lorsque notre petite Coa est morte. J'aimerais retenter l'expérience, mais cette fois à un niveau plus poussé d'optimisation, et avec des gens sympathique.)
Bonsoir à vous !
Je m'appelle Lyras, et je sors de ma longe retraite sous les conseil de mon amis Benjythereturn.
Je vécu sur ces terres il y a fort longtemps, en une ère que seul les plus vieux citoyens se rappellent, une ère dont ils ne content les vieilles légendes effroyables du bout des lèvres qu'une fois leur esprit embrumé par quelque tord boyaux. A l'époque d'avant le terrible épisode de l'armageddon qui marqua les esprit de tous ceux qui y survécurent alors que le tapis de fange qui recouvre le monde était encore jeune je prenais conscience comme beaucoup de survivants que l'union faisait la force.
Fou que j'étais, nous bâtissions, ratissant l'outremonde de tout ce qui pouvait s'assembler, ce que nous nous figurions être d'invincible citadelle qui, toutes, ne tardaient pas à s'écrouler sous l'assaut de inexorables des créatures de la nuit, de nos camarades tombées dans l'outremonde. Chaque Ville, Bidonville devrais-je dire, durait un peu plus longtemps et j'avais l'esprit emplis de rêve. De rêve de cités qui tiendraient des semaines les hordes de zombies dans l'outremonde. C'est à cette époque que j'ai convaincu mon ami Benjythereturn de ce joindre à moi.
Mais, au fur et à mesure que les morts s'accumulaient, que les villes s'effondraient, un doute s'insinua en moi. Une idée qui devint une pensée puis une certitude. J'avais fait erreur. Le vrai danger de résidait pas dans les hordes de zombies affamées, ni dans la soif, ni dans l'ingestion de tout un tas de produit tout plus nocif. Non, le véritable danger venait de mes concitoyens. Le vrai danger venait des hommes, responsables de toutes les horreurs et de toutes les erreurs qui avaient conduit à la ruine de tous les projets de villes. L'homme est un zombie pour l'homme a dit un philosophe de l'ancien temps, et je compris à cette époque ce que cela voulait dire.
Les personnes digne de confiance n'était que trop peu nombreuse et, l'un après l'autre, nous abandonnèrent l'idée de vivre en communauté. Trop dangereux, il valait mieux rester seul, silencieux, et discret comme une ombre parmi les ruines. Il en est allé ainsi jusqu'à nos jours, à perdre petit à petit mon humanité. Mais récemment j'ai fais un rêve, j'ai rêve de villes immenses et magnifiquement organisées, qui résistaient jours après jours aux assauts des hordes morts-vivantes. Les mauvais éléments seraient minoritaires et mis rapidement hors d'état de nuire. Les citoyens s'aideraient, se comprendraient et s'uniraient.
Je me réveillais les yeux emplis de larmes aux souvenir de ce rêve glorieux avec, sur les lèvres, quelques mots dont je ne saisissait pas le sens, mais qui symbolisait, d'un un coin reculé de mon inconscience la gloire de ces cités oniriques : "Ia, Ia ! Cthulhu ftaghn ! Ph’nglui mglw’nafh Cthulhu R’lyeh wgah’nagl ftaghn"
Et quand je reçu, griffonné sur un bout de papier taché de sang, et d'autre substances organiques, ces mots de Benjythereturn "viens fair eun ptit tour dans notre méta, y'a de la vodka, du zomb et du PVE" je sus qu'il était temps de retenter l'expérience de vie en communauté, mais cette fois, à un niveau supérieur.
(J'ai joué il y a quelque temps à horde, j'ai même fait découvert le jeux à Benjy. J'ai arrêté, un peu lassé, lorsque notre petite Coa est morte. J'aimerais retenter l'expérience, mais cette fois à un niveau plus poussé d'optimisation, et avec des gens sympathique.)